CHER GRAND-PÈRE

Je ne te vois depuis sept ans, mois tu me manques comme le premier jour. Il ne fait pas si mal quand je pense à toi, mais c’est dur de penser que je ne te reverrai jamais. Je sais que je dois être contente parce que j’ai pu passer mon enfance avec toi, mais ça semble très peu de temps. Je me souviens quand tu lisais le journal dans le sofa, quand tu étais dans le garage, quand tu écoutais de la musique classique, quand tu rentrais du travail ou quand tu jouais avec tes petits-enfants. J’espère de ne pas m’oublier de toi, et j’espère aussi pouvoir t’embrasser encore un fois.

NINA

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